Martin est un vrai bricoleur. Il l’était enfant, et il l’est toujours adulte. Il y a ceux qui ne sont pas faits pour réparer quoi que ce soit, et puis il y a ceux qui prennent plaisir à démonter la mécanique des petites voitures depuis leur plus jeune âge.
Comme il était manuel, il a choisi un BTS en mécatronique. Il n’était pas mauvais à l’école, mais sa passion, c’était de travailler avec ses mains, alors il a laissé tomber l’ingénierie. Ce qu’il voulait, c’était se salir les mains avec de la graisse et manipuler des outils.
Après quelques années dans l’entreprise d’installation et de maintenance, Martin est devenu le technicien de référence. Même ses superviseurs lui demandent conseil pour résoudre une panne. Électricité, mécanique, hydraulique, électronique… il touche à tout. Il connaît toutes les armoires de commande et sait diagnostiquer des pannes moteur à partir des audios WhatsApp que lui envoient ses collègues.
Martin vit les moments les plus heureux e sa carrière
professionnelle… mais il ne le sait pas encore.
Puis le jour arrive.Son chef lui annonce qu’il
obtient une promotion bien méritée :
il est nommé superviseur.
Il relève le défi, conscient de l’importance d’une bonne gestion. Mais, contrairement à ce qu’il imaginait, c’est le début de l’enfer. Ce qui ressemblait à une promotion et un défi motivant devient une spirale sans fin : éteindre des feux, coordonner les plannings, gérer les tournées, booster la productivité, organiser des évaluations, des réunions, résoudre des conflits…
Martin est un manuel, pas un manager. Et en tant que tel, il n’a pas les outils pour assurer la qualité de l’entreprise ni gérer les personnes sous sa responsabilité — d’autant plus qu’il s’agit de ses anciens collègues. Cela lui cause du stress, de la frustration. Il est l’image même d’un salarié au bord du burn-out.
Normalement, on associe la capacité à diriger à un « talent naturel », comme le fait d’être manuel. Mais il existe des outils de gestion conçus pour les superviseurs, qui améliorent leurs performances, réduisent leur stress et leur permettent de profiter pleinement de ce nouveau rôle de responsable.
Comme à l’époque où ils étaient techniciens en installation ou maintenance, et que tout le monde leur disait à quel point ils étaient bons.
Dans le programme COMPASS de Supervision des Opérations, nous apprenons aux superviseurs à le devenir vraiment — pour qu’ils puissent à nouveau aimer leur métier.
Écrivez-nous pour vous inscrire, vous ou un membre de votre équipe.
Nous savons qu’il est idéal de former tous les responsables techniques de l’entreprise, c’est pourquoi nous proposons des tarifs préférentiels pour les groupes. Places limitées à 15 participants – une seule édition par an.